Le narrateur – Fabre - est hanté par le souvenir de la photo d’un détenu ressemblant à son père, qu’il a vue au camp de Buchenwald. Il découvre bientôt l’identité du prisonnier qui se révèle être son véritable grand-père, David Wagner. Peu à peu se met en place le passé des deux familles.
Un grand livre qui combine les élans romanesques et la réflexion historique, la violence sous les sourires et la bienséance.
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